L'histoire des collègues qui sous-estiment le temps de préparation, ça me parle tellement ! C'est une erreur classique, et ça peut vite coûter cher, non seulement en réputation mais aussi financièrement. Un chantier bâclé, c'est des clients mécontents et potentiellement des retouches à faire, donc du temps et de l'argent perdus. Mieux vaut prévoir large dès le départ, quitte à finir un peu en avance.
Les agences immo, c'est une piste que j'avais pas explorée, merci ! L'idée des tarifs préférentiels, ça peut vraiment les motiver. Faut que je me penche là-dessus.
Et oui, la marge pour les imprévus, c'est la base. J'ai tendance à être trop optimiste sur les timings, donc faut que je me force à ça.
Bonjour à tous,
Je me demandais, face à un client qui refuse une proposition de compromis suite à un sinistre, quelles seraient les meilleures stratégies de communication à adopter ? L'idée est de comprendre comment on peut maintenir un dialogue constructif et préserver la relation client, même si l'offre initiale n'est pas acceptée. Y a-t-il des approches spécifiques qui ont fait leurs preuves dans ce genre de situations délicates ? Des exemples concrets seraient les bienvenus !
Merci à tous pour ces premiers retours, c'est super instructif ! L'idée de la documentation, et surtout de la transparence, me semble vraiment centrale. À creuser...
La confiance, c'est clair que c'est la clé, CreaZen. Sans ça, on part avec un handicap énorme. J'ajouterais que reformuler ce que le client dit, ça peut aider à désamorcer aussi. Ça lui montre qu'on l'écoute *vraiment*, et pas juste qu'on attend notre tour pour placer notre argumentaire.